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abeille

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L'arbre fruitier

Bonjour `a Tous,

Je voudrais vous partager cette courte lecture:

L'arbre fruitier

Les racines de l'arbre sont enfoncées dans la
terre. Le tronc s'élève dans l'air ; il est couvert
d'une espèce de peau qu'on appelle écorce. Le
tronc porte les branches. Celles-ci produisent des
bourgeons qui au printemps donnent des feuilles
et des fleurs. Les fleurs se fanent bientôt, mais
elles produisent des fruits qui grossissent pendant
l'été et sont mûrs en automne. Quand les fruits
sont mûrs on les cueille. Le sang de l'arbre
s'appelle la sève. L'arbre dort en hiver, mais il se
réveille au printemps.

Bon dimanche,
abeille
 

abeille

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Les poissons

Bonjour `a Tous,

Aujourd'hui, je vous ai apporté une petite lecture de poissons.

Les poissons

Les poissons vivent dans l'eau. Leur sanp est froid. Leur peau est couverte d'écailles.
Ils n'ont pas de poumons, mais ils respirent avec leurs branchies. Ils n'ont pas de pattes,
mais ils nagent avec leur queue et leurs nageoires.
Les uns habitent l'eau douce des rivières et des étangs, par exemple : la carpe, la truite,
le brochet, l'anguille. Les autres habitent l'eau salée de la mer, par exemple : le hareng,
la sole, la morue qui nous donne l'huile de foie de morue, le recpiin qui sont prédateurs.

On pêche les poissons avec un filet ou à la ligne. La ligne se compose d'une ficelle et
d'un hameçon. On met une amorce au bout de l'hameçon pour attraper le poisson.


Je vous invite de compléter cette courte écriture.
Bonne journée,
abeille
 

vague

Állandó Tag
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APOCHRYFHE

1

Car toutes choses seront alors abandonnées.

Le silence des cieux,
celui des terres du bout du monde,
celui encore des niches à chien
seront à jamais disjoints.
Dans l’air une armée d’oiseaux en déroute.
Et nous verrons le soleil levant,
muet comme une pupille démente,
calme comme une bête sauvage aux aguets.

Mais veillant dans l’exil,
ne pouvant dormir la nuit,
je m’agite tel un arbre de ses milliers de feuilles,
et je parle tel un arbre nuitamment:

Connaissez-vous la marche des ans,
des ans sur les terres frippées?
Et comprenez-vous les rides du périssable,
connaissez-vous ma main meurtrie?
Et savez-vous le nom de l’orphelin?
Et savez-vous quelle sorte de douleur
de ses sabots fendus, de ses pattes palmées
piétine ici les ténèbres éternelles?
La nuit, le froid, le trou,
la tête oblique du forçat,
connaissez-vous les auges engourdies,
et la tourmente des profondeurs?

Le soleil est monté. Gaulis obscur
dans l’infrarouge d’un ciel furieux.
Ainsi je pars. Face à la ruine
un homme va en silence.
Il n’a rien, une ombre.
Et un bâton. Et une casaque de forçat.

2

Voilà pourquoi j’ai appris à marcher! Pour
ces pas amers et tardifs.

Et il fera soir, de sa boue la nuit
se fait pierre sur moi et sous les paupières closes
je garde encore cette marche, ces arbrisseaux,
ces rameaux fiévreux.
Feuille à feuille le bosquet brûlant.
Autrefois ici fut le paradis.
Douleur qui resurgit dans le demi-sommeil:
on entend ses arbres immenses!

Je voulais rentrer, chez moi enfin,
comme aussi est rentré celui de la Bible.
Mon ombre terrifiante dans la cour.
Silence meurtri, parents vieux dans la maison.
Et déjà ils arrivent, m’appellent, les pauvres
déjà ils pleurent, m’embrassent en trébuchant.
L’ordre ancestral m’accueille.
Je m’accoude dans le vent des étoiles.
Si une seule fois maintenant je pouvais te parler,
à toi que j’ai tant aimé. D’année en année
je ne me suis point lassé de redire,
comme pleure un enfant dans une encoignure,
l’espoir qui déjà sait tout,
d’arriver et de te trouver.
Ta proximité bat dans ma gorge
Je m’affole telle une bête sauvage.
Tes mots, le parler humain
je ne les connais pas. Il y a des oiseaux
qui à cette heure se sauvent à se rompre
sous le ciel, sous le ciel en feu.
De pauvres planches fichées dans un champ en flammes,
et des cages qui brûlent immobiles.
Je ne comprends pas le parler humain
et je parle pas ta langue.
Ma parole plus que les mots est sans patrie!
Aussi n’ai-je pas de parole.
Poids atroce
déboule dans l’air et sonne
le corps d’une tour.

Tu n’es nulle part. Comme le monde est vide.
Une chaise de jardin, une chaise longue, dehors, oubliée.
Dans les pierres aiguës mon ombre fait un bruit
de ferraille.
Je suis las. Je fais saillie de la terre.

3

Dieu me voit debout sur le soleil.
Il voit mon ombre sur pierre et clôtures.
Sans souffle il voit mon ombre
debout dans le pressoir sans air.

Alors je suis déjà comme la pierre,
ride morte, dessin de mille entailles,
poignée de gravats, tel est
le poids du visage de la créature.
Au lieu de larmes des rides sur le visage,
coule, ruisselle le fossé vide.


S magyar nyelven:


APOKRIF

1

Mert elhagyatnak akkor mindenek.

Külön kerül az egeké, s örökre
a világvégi esett földeké,
s megint külön a kutyaólak csöndje.
A levegőben menekvő madárhad.
És látni fogjuk a kelő napot,
mint tébolyult pupilla néma és
mint figyelő vadállat, oly nyugodt.

De virrasztván a számkivettetésben,
mert nem alhatom akkor éjszaka,
hányódom én, mint ezer levelével,
és szólok én, mint éjidőn a fa:

Ismeritek az évek vonulását,
az évekét a gyűrött földeken?
És értitek a mulandóság ráncát,
ismeritek törődött kézfejem?
És tudjátok nevét az árvaságnak?
És tudjátok, miféle fájdalom
tapossa itt az örökös sötétet
hasadt patákon, hártyás lábakon?
Az éjszakát, a hideget, a gödröt,
a rézsut forduló fegyencfejet,
ismeritek a dermedt vályukat,
a mélyvilági kínt ismeritek?

Feljött a nap. Vesszőnyi fák sötéten
a haragos ég infravörösében.

Így indulok Szemközt a pusztulással
egy ember lépked hangtalan.
Nincs semmije, árnyéka van.
Meg botja van. Meg rabruhája van.

2

Ezért tanultam járni! Ezekért
a kései, keserü léptekért.

S majd este lesz, és rámkövül sarával
az éjszaka, s én húnyt pillák alatt
őrzöm tovább e vonulást, e lázas
fácskákat s ágacskáikat,
Levelenként a forró, kicsi erdőt.
Valamikor a paradicsom állt itt.
Félálomban újuló fájdalom:
hallani óriási fáit!

Haza akartam, hazajutni végül,
ahogy megjött ő is a Bibliában.
Irtóztató árnyam az udvaron.
Törődött csönd, öreg szülők a házban.
S már jönnek is, már hívnak is, szegények
már sírnak is, ölelnek botladozva.
Visszafogad az ősi rend.
Kikönyöklök a szeles csillagokra –

Csak most az egyszer szólhatnék veled,
kit úgy szerettem. Év az évre,
de nem lankadtam mondani,
mit kisgyerek sír deszkarésbe,
a már-már elfuló reményt,
hogy megjövök és megtalállak.
Torkomban lüktet közeled.
Riadt vagyok, mint egy vadállat.

Szavaidat, az emberi beszédet
én nem beszélem. Élnek madarak,
kik szívszakadva menekülnek mostan
az ég alatt, a tüzes ég alatt.
Izzó mezőbe tűzdelt árva lécek,
és mozdulatlan égő ketrecek.

Nem értem én az emberi beszédet,
és nem beszélem a te nyelvedet.
Hazátlanabb az én szavam a szónál!
Nincs is szavam.
Iszonyu terhe
omlik alá a levegőn,
hangokat ad egy torony teste.

Sehol se vagy. Mily üres a világ.
Egy kerti szék, egy kinnfeledt nyugágy.
Éles kövek közt árnyékom csörömpöl.
Fáradt vagyok. Kimeredek a földből.

3

Látja Isten, hogy állok a napon.
Látja árnyam kövön és keritésen.
Lélekzet nélkül látja állani
árnyékomat a levegőtlen présben.

Akkorra én már mint a kő vagyok;
halott redő, ezer rovátka rajza,
egy jó tenyérnyi törmelék
akkorra már a teremtmények arca.

És könny helyett az arcokon a ráncok,
csorog alá, csorog az üres árok.
 

vague

Állandó Tag
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PETŐFI Sándor:
SZEPTEMBER VÉGÉN

Még nyílnak a völgyben a kerti virágok,
Még zöldel a nyárfa az ablak előtt,
De látod amottan a téli világot?
Már hó takará el a bérci tetőt.
Még ifju szivemben a lángsugarú nyár
S még benne virít az egész kikelet,
De íme sötét hajam őszbe vegyűl már,
A tél dere már megüté fejemet.
Elhull a virág, eliramlik az élet...
Űlj, hitvesem, űlj az ölembe ide!
Ki most fejedet kebelemre tevéd le,
Holnap nem omolsz-e sirom fölibe?
Oh mondd: ha előbb halok el, tetemimre
Könnyezve borítasz-e szemfödelet?
S rábírhat-e majdan egy ifju szerelme,
Hogy elhagyod érte az én nevemet?
Ha eldobod egykor az özvegyi fátyolt,
Fejfámra sötét lobogóul akaszd,
Én feljövök érte a síri világból
Az éj közepén, s oda leviszem azt,
Letörleni véle könyűimet érted,
Ki könnyeden elfeledéd hivedet,
S e szív sebeit bekötözni, ki téged
Még akkor is, ott is, örökre szeret!
(Koltó, 1847, szeptember)

FIN SEPTEMBRE

Le val est riche encore des fleurs de ses jardins,
Et vert le peuplier dans la fenêtre ouverte.
Mais le monde d’hiver, l’aperçois-tu qui vient?
La neige sur la cime au loin donne l’alerte.
Encore l’été brûlant brûle mon jeune coeur,
Mais si la sève en lui monte et le renouvelle,
Déjà des fils d’argent dans mes cheuveux révèlent
Que les froids de l’hiver vont montrer leur vigueur.

Car s’effeuillent les fleurs et s’enfuit notre vie...
Viens donc, ô mon aimée, te blottir sur mon sein.
Toi qui tout contre moi mets ta tête chérie
N’iras-tu te pencher sur ma tombe demain?
Si je meurs le premier, de ces deux que nous sommes,
Mettras-tu, dans les pleurs, un linceul sur mon corps?
Si un autre t’aimait, se pourrait-il alors
Que tu quittes mon nom pour le nom de cet homme?

Si ce voile de veuve, un jour tu le jetais,
Comme un drapeau de deuil laisse-le sur ma tombe.
Je viendrai le chercher, du noir où tout se tait,
Au cours de cette nuit où notre amour succombe,
Pour essuyer les pleurs versés sur notre amour,
Sur toi facilement oublieuse et parjure,
Pour panser de mon coeur l’horrible déchirure –
T’aimant même là-bas, même alors et toujours.
 

vague

Állandó Tag
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1. Où allons-nous : à la plage .... à la bibliothèque ?
2. Des travaux avaient commencé, ... le projet a dû être arrêté faute de moyens.
3. Cette dame refuse de prendre son traitement, ... elle continue de souffrir !
4. Ce groupe folklorique chante ... danse en même temps !
5. Je me sens bien : je n'ai ... chaud ni froid.
6. Ce tableau est le plus célèbre ... son auteur est simplement un copiste de génie.
7. Je ne pense pas que je viendrai demain ... ma voiture est chez le garagiste.
8. Un loup n'ose pas attaquer un éléphant ... il est beaucoup trop grand.
9. Une souris se cache dans le linge ...l'autre sous l'armoire.
10. Ma fille adore les animaux, ... je ne sais pas pourquoi, la vue de ce chien l'a effrayée !

Solution

1. Où allons-nous : à la plage OU à la bibliothèque ?
2. Des travaux avaient commencé, MAIS le projet a dû être arrêté faute de moyens.
3. Cette dame refuse de prendre son traitement, DONC elle continue de souffrir !
4. Ce groupe folklorique chante ET danse en même temps !
5. Je me sens bien : je n'ai NI chaud ni froid.
6. Ce tableau est le plus célèbre OR son auteur est simplement un copiste de génie.
7. Je ne pense pas que je viendrai demain car ma voiture est chez le garagiste.
8. Un loup n'ose pas attaquer un éléphant car il est beaucoup trop grand.
9. Une souris se cache dans le linge ET l'autre sous l'armoire.
10. Ma fille adore les animaux, OR/MAIS je ne sais pas pourquoi, la vue de ce chien l'a effrayée !
 

abeille

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Les abeilles

Bonjor à Tous,

Voilà une autre courte lecture pour ce week-end:


Les abeilles


Les abeilles ressemblent à de grosses mouches.
On les appelle quelquefois mouches à miel. Leur
maison s'appelle la ruche. Au printemps et en
été elles travaillent sans cesse. Nous les avons
tous entendues bourdonner. Nous les avons tous
vues voler de fleur en fleur et rentrer à la ruche
chargées de butin. Les abeilles font de la cire.
Avec la cire elles font des cellules. Dans les
cellules elles conservent leur miel. Le miel est
sucré et sent très bon. Il ne faut pas taquiner
les abeilles. Quand elles sont en colère elles
piquent avec leur aiguillon, et la piqûre cause une
enflure très douloureuse. Les abeilles ont peur du
froid ; elles restent à la maison pendant l'hiver.
Les guêpes et les bourdons sont plus jolis que
les abeilles, mais ils nous sont inutiles.

Bon week-end
abeille ;)
 

abeille

Állandó Tag
Állandó Tag
Expression française: "découvrir le pot-aux-roses"

Signification:
Découvrir un secret ou une supercherie

Origine:
Il existe plusieurs explications quant aux origines de l’expression "découvrir le pot-aux-roses", mais aucune n’a jamais vraiment été privilégiée. La première proviendrait des billets doux que les hommes déposaient sous les pots de fleurs chez les jeunes femmes, et que leur mari aurait pu découvrir. Cependant, "pot de fleur" ne s’utilise que depuis le début du XIIe siècle, et le verbe "découvrir" n’a pris son sens actuel de "découverte" que vers le XVIe siècle. D’autres ont supposé que le "pot aux roses" était le pot dans lequel les femmes conservaient leur fard, que les hommes auraient ensuite découvert, comprenant alors l’utilisation d’artifices. Selon d’autres encore, il faudrait comprendre le verbe "découvrir" dans le sens de "dévoiler" et non "trouver". Il s’agirait donc d’un secret qui aurait été dévoilé par une personne chargée de le garder. Dans cette même optique, on a aussi sous-entendu que l’expression signifiait "enlever un couvercle" ; celui d’un pot
contenant de l’eau de roses par exemple, ancêtre du parfum très utilisé au Moyen Age, et qui s’évapore si on ne le recouvre pas. Toujours en matière de parfum, certains ont affirmé qu’il s’agissait de la découverte de l’instrument qu’utilisaient les parfumeurs pour
distiller les huiles essentielles et que semble-t-il, ils gardaient très secret. Pour les alchimistes, l’expression serait une allusion à la "rose minérale", poudre obtenue à partir de l’or et du mercure. Ce mélange rappelle la pierre philosophale, elle-même sujet de grand
mystère… Ce qui est sûr, c’est que la rose est depuis bien longtemps symbole de secret.
Ainsi, la rose, ou la fleur de façon plus générale, est souvent symbole de virginité. De plus, la légende veut que Cupidon ait donné une rose à Harpocrates, le dieu du silence, pour qu’en échange il taise à jamais les amours de Vénus. Parallèlement, on gravait au XVIe siècle ces fleurs sur les confessionnaux et on en sculptait dans les salles de banquets, ce qui devait rappeler aux convives que les confidences qui se feraient durant les repas
n’étaient pas à divulguer….

Bonne journée à Tous
abeille
 

limcsi

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képregényes feladatlap m->fr

Nyelvtanároknak és tanulónak is nagyon ajánlom az alábbi linken szereplő képregényes feladatgyűjteményt. http://www.sulinet.hu/tanar/kompete.../la_bande_dessinee/la_bande_dessinee_diak.pdf
[HIDE-THANKS]http://www.sulinet.hu/tanar/kompetenciateruletek/3_idegen_nyelv/modulleirasok/francais/eleves_de_14-17_ans/a1/internet_en_cours_de_langue/la_bande_dessinee/la_bande_dessinee_diak.pdf[/HIDE-THANKS]
Kicsit lassan töltődnek be a doksik, ezért érdemes végiglapozni a menüt, és jobb klikkel letölteni, és megnézegetni a doksikat, hanganyagokat: http://www.sulinet.hu/tanar/kompetenciateruletek/3_idegen_nyelv/
[HIDE-THANKS]http://www.sulinet.hu/tanar/kompetenciateruletek/3_idegen_nyelv/[/HIDE-THANKS]
Ezen belül a MODULLEÍRÁSOKnál találhatók a nyelvek, tanári útmutatók és feladatlapok találhatók ott.

Nagyon komoly, kidolgozott szakmai munka tanárok számára. S kicsit irigykedem, hogy a magyar mint idegen nyelvben nem foglalkoztak a grafikai oldallal :sad:
 
Utoljára módosítva a moderátor által:

abeille

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Dis-moi quelqu'un, comment puisse-je me cache devant moi-měme quand je joue cache-cache? Et comment puis-je trouver moi-měme?
 

abeille

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Expression: Être comme chien et chat

Coucou a Tous,

Je viens partager une expression française avec vous:

Être comme chien et chat

Signification:
Ne pas s'entendre.

Origine:
Dans la croyance populaire, les chiens et les chats sont des animaux qui ne peuvent se supporter les uns les autres. Et cette conviction ne date pas d'hier. On disait en effet dès le XVIe siècle "être amis comme le chien et le chat". La forme actuelle "être comme chien et chat" date du XVIIe siècle et signifie que deux personnes ne peuvent s'entendre.


abeille
 

abeille

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Le chat de la vieille femme.

Le chat de la vieille femme.


Je vis un jour dans la rue une bonne femme entourée par un cercle de badauds. Elle était assise par terre contre le mur ; elle avait sur ses genoux le corps pantelant d'un chat et elle sanglotait. On me raconta le drame. Le chat était tombé du troisième étage, sain et sauf, paraît-il, mais un peu étourdi de la chute ; un mauvais gamin l'avait saisi et l'avait jeté sous les roues d'une voiture qui passait.
La bonne femme pleurait toujours. Autour d'elle, les uns riaient, les autres essayaient de la consoler ; enfin, levant vers un des assistants sa figure ridée, toute ruisselante :
" Je sais bien que ce n'était qu'un chat, dit-elle ; mais ma petite fille l'avait élevé. Elle est morte aussi. A qui pourrai je maintenant parler d'elle?"

Měme si c'est une histoire triste, je vous souhaite un boon week-end

abeille
 

vague

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Coucou a Tous!

Une histoire courte d'en rire


- Bonjour, docteur!

J'ai l' impression que, depuis
quelque temps, je perds la mémoire.

- Depuis quand?

- Depuis quand, quoi?

:)
 

abeille

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- Salut, chérie j'ai entendu votre mari a été arrêté par police.
- Oui. Cette année, il a commencé trop tôt pour le shopping de Noël.
- Comment? Apres tout, Noël est presque là!
- Je veux te dire, avant même que le magasin aurait ouvert ...
 

abeille

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Si je ne peux pas dormir la nuit suivante non plus, je vais faire des changement à ma profession! Je me fais travailler comme une boulangere!
 

abeille

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expression française: "se mettre en quatre"

"Se mettre en quatre", née vers le milieu du XVIIe siècle, signifie que l'on se donne beaucoup de mal. On s'imagine assez facilement tenter de plier son corps en quatre morceaux, ce qui évoque rapidement la difficulté et les efforts nécessaires pour y arriver. On utilise surtout cette expression pour signifier un effort fait vis-à-vis d'une personne.


Bonne journée
abeille
 

vague

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Trois fous sont dans un bateau. Le premier s'appelle "Fou", le deuxième "Personne" et le troisième "Rien".
Personne tombe dans l'eau. Rien dit a Fou d'appeller les secours.
Celui-ci prend son portable et téléphone aux pompiers :
Quand les secours répondent Fou leur dit :
- Bonjour je suis Fou, j'appelle pour Rien, parce que Personne est tombé à l'eau !
 
Státusza
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